Diplômée en bibliothéconomie de l’Université d’Alger, je travaille depuis 1996 à la bibliothèque universitaire de l’Université des sciences et technologies Houari Boumediene. Attachée de recherche, j’ai contribué au traitement bibliographique, au catalogue national des thèses et à l’informatisation de la bibliothèque. Conservatrice depuis peu, je supervise la veille documentaire et encadre les étudiants en fin d’études.
2/ Quelles sont vos missions à l’AUF ?
En 2014, j’ai été détachée de mon université à mi-temps pour travailler au CNF d’Alger afin d’assurer les taches de chargée de projet et la gestion comptable, une mission, que je me suis très vite appropriée sans difficultés.
En 2020 et en l’absence d’un responsable de projet je me suis impliquée dans le suivi des projets et assisté le responsable du CNF pour la gestion administrative. Malgré une équipe réduite, grâce à la solidarité et au soutien de l’équipe nous avons accompli de très belles actions.
3/ Quel regard portez-vous en tant que femme professionnelle au sein de l’AUF ?
Je suis admirative des femmes de l’AUF pour toutes les actions qu’elles mènent avec professionnalisme. Les AUFiennes représentent un modèle de réussite et d’intégration à suivre.
4/ En cette journée du 8 mars, quels messages souhaitez-vous adresser aux jeunes femmes qui débutent leurs carrières dans le domaine de la gestion de projets ?
Au-delà des compétences techniques et des connaissances académiques nécessaires à la gestion des projets, il est important d’accorder les mêmes chances et responsabilités aux femmes que celles accordées aux hommes pour réaliser l’égalité du genre loin de toute discrimination. Il faut oser investir et explorer des projets managériaux qui jusqu’à présent étaient réservés aux hommes.